Le Naufrage de l'Honneur
Quelle désolation ! Quel spectacle navrant que celui de notre nation ligotée, contemplant impuissante l'effondrement de ses fondements les plus sacrés sous les coups de boutoir de la médiocrité et de l'indécence orchestrée.
Barthes nous enseignait que le fascisme ne consiste pas à empêcher de parler, mais à contraindre au discours. La France a franchi ce seuil : ici règne désormais l'obligation du silence, sous peine d'excommunication sociale, de mise au ban, d'anéantissement civil.
Nos dirigeants, ces prétendus gardiens de la République, ont sombré dans une folie destructrice. Seuls se taisent encore ceux qui ont abdiqué leur honneur sur l'autel de la cupidité et des privilèges mesquins.
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Ils ne méritent même plus notre haine – sentiment trop noble pour ces êtres qui ont déserté l'humanité. Ce ne sont plus des hommes, mais des spectres de pouvoir, des ombres de ce qu'ils auraient pu être.
L'Histoire, cette juge implacable, n'oubliera aucun de leurs noms. Elle les inscrira au registre éternel de l'infamie.
Amen, Tonvoisinov. Écrivain Dissident ! Rance Juillet de l'an de Crasse 2025
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