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"Il y a plusieurs façons de voir ce monde : la mienne et la mienne. Et ceux et celles qui ne voient pas que ce monde s'effondre dans les silences complices de la banalité du mal sont soit sourds des yeux, soit aveugles des deux oreilles !"
 
AMEN TONVOISIN
Écrivain Dissident
 
 
« DANS CE MONDE SANS LOI ! »TONVOISIN / ÉCRIVAIN DISSIDENT
 
[Verse]
Quand votre âme, légère, prononça mon exil,
La mienne, en un instant, sombra dans l'infini.

Ce que vous appeliez l'ordinaire d'un départ
Fut pour moi l'océan où se noient les regards.
Vos syllabes, flottant comme feuilles d'automne,
Furent pour moi le glas que l'éternité sonne.
 
[Chorus]
Putain de solitude ! Gouffre noir qui consume !
Prisonnier de l'azur que nul regard n'allume !
Vos silences, sont ma croix, mes chaînes indicibles
Ils m'enterrent dans l'oubli de ma nuit impossible !
Entendez-vous l'écho ? Entendez-vous ma voix ?
Qui résonne sans fin dans ce monde sans loi !
 
 
 
[Verse - Building Intensity]
Un fil ténu vibra dans l'espace glacé,
Votre voix, instrument d'un verdict prononcé.
Tandis que vous foulez des chemins de lumière,
Mon monde se dissout en poussière éphémère.
Le temps s'arrête et meurt dans mes heures suspendues,
Comme un astre égaré dans les plaines perdues.
 
[Verse - Rising Tension]
Vos rires entrelacés forment des cathédrales,
Où vous célébrez l'ivresse des joies triviales.
Moi, tel Prométhée enchaîné sur son rocher,
Je compte les instants qui refusent de passer.
Entre deux souffles lourds que m'arrache la vie,
Entre deux songes noirs où mon âme dévie.
 
[Chorus]
Putain de solitude ! Gouffre noir qui consume !
Prisonnier de l'azur que nul regard n'allume !
Vos silences, sont ma croix, mes chaînes indicibles
Ils m'enterrent dans l'oubli de ma nuit impossible !
Entendez-vous l'écho ? Entendez-vous ma voix ?
Qui résonne sans fin dans ce monde sans loi !
 
[Bridge]
J'ai lancé ma prière aux confins de vos âmes,
Mais le cri s'est perdu, telle une frêle flamme
Dans la tempête immense où vos vies tourbillonnent,
Sans égard pour celui dont les pleurs s'abandonnent.
Dans les vastes déserts où ma voix s'est brisée,
Nul n'entend le murmure de ma foi épuisée.
 
[Verse - Spoken Raw Voice]
Un jour, quand le destin, dans sa justice austère,
Vous fera boire l’éffroi de ce calice amer,
Quand la solitude sera votre seul rivage,
Mon visage surgira des cendres de l'outrage.
Vous comprendrez alors, dans votre chair meurtrie,
Le prix sanglant des larmes que vous avez taries.
 
[Chorus]
Solitude, sanctuaire de douleur infinie,
Je la transforme aujourd'hui en élégie bénie.
Que résonnent ces vers, ils sont nés de l'absence,
De votre sourde cruauté de vos indifférences,
La blessure éternelle de vos choix impensés,
Comme un chant immortel dans l'azur élancé.
 
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