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Réquisitoire contre une violation du droit international par le pouvoir en place

L'autorisation accordée à ce présumé criminel de guerre de traverser notre espace aérien constitue non seulement une transgression flagrante du droit international, mais fait de notre gouvernement un complice silencieux d'actions qui, selon toutes définitions juridiques, s'apparentent à un génocide.

Notre démocratie, fondée sur l'état de droit, vacille dangereusement lorsque nous facilitons le passage d'un individu dont les actions systématiques — privation d'eau, de nourriture, de soins médicaux et d'aide humanitaire envers plus de deux millions de personnes — correspondent précisément aux critères juridiques définissant un génocide.

Rappelons que selon l'article 211-2 du code pénal, toute complicité ou apologie de tels actes expose les responsables à des sanctions sévères : sept années d'emprisonnement au minimum, voire la réclusion à perpétuité.

Une conclusion s'impose désormais avec une douloureuse évidence : les principes fondamentaux de l'état de droit ont été compromis par ces décisions qui engagent notre responsabilité collective face à l'histoire et au droit international.

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