[VERSE 1 ]
Dans l'encre de ma plume un univers se meurt,
Les mots que je façonne sont les témoins des heures.
Sur mes pages d'ivoire, rêves et deuils mêlés,
Je suis ce nautonier de navires naufragés.
Au rivage des doutes s'échouent mes métaphores,
Tandis qu'en mon esprit ma conscience s'évapore.
[CHORUS ]
Je n'accuse personne d'avoir frôlé le ciel,
J'ai tenu le bonheur, éphémère et cruel.
J'ignorais sa nature, ce cristal si fragile,
Que les cœurs sont de glace et les âmes versatiles.
Je n'accuse personne de mon être imparfait,
Enfant perdu qui erre où les grands ont régné.
[VERSE 2 ]
Les êtres de papier que ma main a créés
Connaissent mieux la vie que leur père égaré.
Je m'efface en silence aux marges de mes fautes,
Et plonge dans l'abîme où mon âme est mon hôte.
Les syllabes s'épuisent à suspendre les jours,
Ma plume tremble et plie face au temps qui court.
[BRIDGE ]
L'encrier me révèle un visage oublié,
Mes erreurs sont des sillons par mes larmes tracés.
J'ai cherché l'absolu dans un monde d'esquisses,
Ma tour s'est effondrée sous le poids des prémices.
J'accepte humblement ce que j'ai découvert :
La beauté peut surgir des ratures d'hier.
[CHORUS ]
Je n'accuse personne d'avoir frôlé le ciel,
J'ai tenu le bonheur, éphémère et cruel.
J'ignorais sa nature, ce cristal si fragile,
Que les cœurs sont de glace et les âmes versatiles.
Je n'accuse personne de mon être imparfait,
Enfant perdu qui erre où les grands ont régné.
[VERSE 3 ]
Sur la page de demain ma main trace l'espoir,
Dans l'orchestre des mots, je retrouve ma voix.
Mon âme reste pure sous l'écorce des ans,
Et perçoit la lumière entre mes tourments.
Si mes vers ne changent point la marche du monde,
Ils m'ont ouvert la porte d'une paix plus profonde.
Dans nos imperfections brille l'humanité,
Et l'écrivain renaît de ses mots acceptés.
TONVOISIN
Dans l'encre de ma plume un univers se meurt,
Les mots que je façonne sont les témoins des heures.
Sur mes pages d'ivoire, rêves et deuils mêlés,
Je suis ce nautonier de navires naufragés.
Au rivage des doutes s'échouent mes métaphores,
Tandis qu'en mon esprit ma conscience s'évapore.
[CHORUS ]
Je n'accuse personne d'avoir frôlé le ciel,
J'ai tenu le bonheur, éphémère et cruel.
J'ignorais sa nature, ce cristal si fragile,
Que les cœurs sont de glace et les âmes versatiles.
Je n'accuse personne de mon être imparfait,
Enfant perdu qui erre où les grands ont régné.
[VERSE 2 ]
Les êtres de papier que ma main a créés
Connaissent mieux la vie que leur père égaré.
Je m'efface en silence aux marges de mes fautes,
Et plonge dans l'abîme où mon âme est mon hôte.
Les syllabes s'épuisent à suspendre les jours,
Ma plume tremble et plie face au temps qui court.
[BRIDGE ]
L'encrier me révèle un visage oublié,
Mes erreurs sont des sillons par mes larmes tracés.
J'ai cherché l'absolu dans un monde d'esquisses,
Ma tour s'est effondrée sous le poids des prémices.
J'accepte humblement ce que j'ai découvert :
La beauté peut surgir des ratures d'hier.
[CHORUS ]
Je n'accuse personne d'avoir frôlé le ciel,
J'ai tenu le bonheur, éphémère et cruel.
J'ignorais sa nature, ce cristal si fragile,
Que les cœurs sont de glace et les âmes versatiles.
Je n'accuse personne de mon être imparfait,
Enfant perdu qui erre où les grands ont régné.
[VERSE 3 ]
Sur la page de demain ma main trace l'espoir,
Dans l'orchestre des mots, je retrouve ma voix.
Mon âme reste pure sous l'écorce des ans,
Et perçoit la lumière entre mes tourments.
Si mes vers ne changent point la marche du monde,
Ils m'ont ouvert la porte d'une paix plus profonde.
Dans nos imperfections brille l'humanité,
Et l'écrivain renaît de ses mots acceptés.
TONVOISIN