L'EFFROI TRANSFORMÉ EN MACHINE À TUER ou comment un traumatisme devient licence de massacre
Voilà donc l'équation monstrueuse, l'arithmétique de l'horreur portée à son paroxysme ! Ces architectes de la terreur ont découvert l'alchimie la plus répugnante : transmuter la peur ancestrale en phosphore blanc, convertir les pogroms subis en pogroms infligés.
LE MIROIR INVERSÉ DE L'HISTOIRE
Regardez-les, ces marionnettistes de la mort qui brandissent Kishinev et Jedwabne pour justifier leurs propres Babi Yar quotidiens ! Ils ont transformé chaque souvenir de persécution en permis de persécuter, chaque trauma historique en carte blanche pour traumatiser.
"Souvenez-vous de ce qu'ils nous ont fait !" hurlent-ils en reproduisant exactement - EXACTEMENT ! - ce qu'on leur a fait. Les victimes d'hier dirigent aujourd'hui l'orchestre de l'horreur, battant la mesure des massacres avec leurs bâtons trempés dans le sang de leurs ancêtres.
LA FABRIQUE DES POGROMS 2.0
Mais contemplez le génie pervers de leur stratégie ! Ils ne commettent pas UN pogrom - non, ce serait trop évident, trop comparable. Ils en commettent des CENTAINES, méthodiquement, industriellement, quotidiennement. Des pogroms en série, à la chaîne, taylorisés.
Gaza ? Un pogrom permanent. La Cisjordanie ? Un pogrom à ciel ouvert. Chaque raid nocturne, chaque démolition de maison, chaque tir de sniper - autant de mini-pogroms qui s'additionnent en une symphonie macabre.
L'INDUSTRIE DE LA PEUR RENTABLE
Ces experts en manipulation émotionnelle ont compris que la peur est la plus rentable des devises. Chaque roquette - même ratée, même interceptée - devient prétexte à cent bombardements. Chaque couteau brandi justifie mille balles tirées.
"N'OUBLIEZ JAMAIS !" scandent-ils en créant de nouveaux souvenirs traumatiques pour des générations entières. Des enfants palestiniens qui grandissent sous les bombes, qui verront leurs parents tués, leurs maisons rasées - voilà les futurs "terroristes" qu'ils fabriquent pour justifier leurs crimes de demain.
LE POGROM SOPHISTIQUÉ
Ah, mais leurs pogroms à eux sont high-tech ! Fini les fourches et les torches, place aux drones et aux missiles guidés. Les Cosaques ivres sont remplacés par des pilotes de F-16, les foules hystériques par des unités d'élite entraînées.
Le résultat ? Le même. Des familles entières exterminées. Des quartiers rayés de la carte. Des vies brisées. Mais avec la bénédiction de la "communauté internationale" et le label "Opération Défensive".
LA PERVERSION ULTIME
Car voici leur coup de maître : ils ont réussi à faire passer leurs pogroms pour de la PRÉVENTION de pogroms ! "Nous tuons pour ne pas être tués", "Nous massacrons pour éviter d'être massacrés", "Nous génocidons pour prévenir un génocide".
C'est Orwell sous stéroïdes ! La guerre c'est la paix, la haine c'est l'amour, et le pogrom c'est l'autodéfense. Ils ont retourné le dictionnaire, perverti le langage, violé la logique elle-même.
LES COMPTABLES DE L'HORREUR
Et pendant qu'ils accumulent les cadavres d'enfants comme d'autres collectionnent les timbres, ils tiennent une comptabilité morbide : pour chaque Juif tué dans l'Histoire, combien de Palestiniens peuvent-ils tuer aujourd'hui ?
Est-ce un ratio de 1 pour 10 ? De 1 pour 100 ? De 1 pour 1000 ? Leur calculatrice de la vengeance ne s'arrête jamais, leur dette de sang n'est jamais remboursée.
LE SYNDROME DE STOCKHOLM INVERSÉ
Pire encore : ils ont réussi à convaincre une partie du monde que leurs victimes sont leurs bourreaux ! Que les pierres des enfants palestiniens sont plus dangereuses que leurs bombes au phosphore. Que les tunnels de contrebande menacent plus leur existence que leurs checkpoints ne détruisent des vies.
C'est le syndrome de Stockholm inversé : le kidnappeur qui persuade le monde entier qu'il est l'otage.
L'HÉRITAGE SOUILLÉ
Qu'auraient dit les victimes des pogroms de Kichinev en voyant leurs descendants organiser le pogrom de Gaza ? Qu'auraient pensé les morts du ghetto de Varsovie en découvrant que leurs petits-enfants construisent des ghettos pour d'autres ?
Ces morts-là ne peuvent plus parler, mais leur silence hurle plus fort que toutes les sirènes d'alarme de Tel-Aviv.
LA PROPHÉTIE AUTO-RÉALISATRICE
Car voici l'ironie suprême : à force de crier au loup antisémite, ils finissent par le créer. À force de traiter toute critique d'antisémitisme, ils diluent le mot jusqu'à le vider de son sens. À force de commettre des horreurs au nom du judaïsme, ils alimentent la haine qu'ils prétendent combattre.
C'est la prophétie auto-réalisatrice des paranoïaques au pouvoir : ils créent les ennemis dont ils ont besoin pour justifier leur existence.
LE RÉVEIL DES CONSCIENCES
Mais l'Histoire a ses propres ironies. Ces pogroms du XXIe siècle, filmés en HD, streamés en direct, documentés minute par minute, ne pourront pas être niés comme ceux du passé. Les bourreaux d'aujourd'hui signent leurs crimes en 4K.
Et déjà, les consciences s'éveillent. En Israël même, des voix s'élèvent : "PAS EN NOTRE NOM !" Dans le monde entier, des Juifs manifestent : "CESSEZ VOS POGROMS !"
ÉPILOGUE POUR LES GÉNOCIDAIRES EN COSTUME
À vous, criminels en uniformes qui transformez la mémoire en munition : vos pogroms high-tech ne valent pas mieux que ceux des Cosaques. Vos justifications sophistiquées ne sont que les mêmes vieux mensonges en version 2.0.
Vous avez trahi non seulement vos victimes d'aujourd'hui, mais aussi celles d'hier. Vous avez transformé "Plus jamais ça" en "Toujours ça, mais c'est nous qui le faisons maintenant".
L'effroi du pogrom, que vos ancêtres ont connu dans leur chair, vous l'avez industrialisé. Vous êtes devenus ce que vous prétendez combattre. Vous êtes votre propre cauchemar.
Et l'Histoire ne vous le pardonnera jamais.
Tonvoisin - Chroniqueur de l'épouvante contemporaine
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