𝐌𝐀𝐍𝐈𝐅𝐄𝐒𝐓𝐄 𝐒𝐔𝐑 𝐋𝐄 𝐂𝐎𝐍𝐅𝐋𝐈𝐓 𝐈𝐒𝐑𝐀𝐄́𝐋𝐎-𝐏𝐀𝐋𝐄𝐒𝐓𝐈𝐍𝐈𝐄𝐍 #𝐏asEn𝐌on𝐍om ! #StopGenocide!

𝐏𝐀𝐒 𝐄𝐍 𝐌𝐎𝐍 𝐍𝐎𝐌 !

𝐌𝐀𝐍𝐈𝐅𝐄𝐒𝐓𝐄 𝐒𝐔𝐑 𝐋𝐄 𝐂𝐎𝐍𝐅𝐋𝐈𝐓 𝐈𝐒𝐑𝐀𝐄́𝐋𝐎-𝐏𝐀𝐋𝐄𝐒𝐓𝐈𝐍𝐈𝐄𝐍

Les démocraties européennes trahissent les valeurs qu'elles prétendent défendre, tandis que certains de nos médias tissent une tapisserie narrative où la vérité se noie dans des discours ambigus. Le pogrom du 7 octobre est immonde et injustifiable, son horreur ne peut pour autant légitimer les actes génocidaires orchestrés par Netanyahu, qui ne représente ni le peuple juif ni la communauté israélienne dans sa complexité.

𝐋𝐄𝐒 𝐂𝐇𝐀𝐑𝐆𝐄𝐒

- L'utilisation de la famine comme méthode de guerre – cette arme invisible de l'inanition

- Les attaques délibérées contre des civils – cette violence clinique et calculée

- L'homicide intentionnel – cet euphémisme bureaucratique masquant le massacre systématique

- La persécution – ce mot trop pâle pour décrire l'écrasement méthodique d'une population

Karim Khan, procureur de la CPI, a demandé des mandats d'arrêt contre Netanyahu et Gallant, tout comme contre les 3 visages du Hamas : Sinwar, stratège des tunnels ; Deif, l'homme aux neuf vies ; et Haniyeh, voix politique d'une résistance défigurée. Tous accusés des mêmes crimes contre l'humanité.

𝐋𝐀 𝐓𝐑𝐈𝐏𝐋𝐄 𝐓𝐑𝐀𝐆𝐄́𝐃𝐈𝐄 𝐍𝐄𝐓𝐀𝐍𝐘𝐀𝐇𝐔𝐈𝐄𝐍𝐍𝐄

- Premier acte : La fabrique perverse de l'antisémitisme. Ses actions brutales créent une confusion exploitée pour justifier la haine envers tous les Juifs.

- Deuxième acte : L'usine à combattants. Sa stratégie militaire sème les germes d'une résistance perpétuelle. Chaque frappe devient la pierre angulaire d'un cycle de vengeance où chaque mort enfante dix résistants.

- Troisième acte : Le marchandage cynique des otages. Les familles accusent leur propre Premier ministre de sacrifier leurs proches sur l'échiquier de ses ambitions personnelles.

𝐑𝐀𝐏𝐏𝐄𝐋 𝐉𝐔𝐑𝐈𝐃𝐈𝐐𝐔𝐄

Article 211-2 : La provocation publique et directe à commettre un génocide est punie de la réclusion criminelle à perpétuité si suivie d'effet. Sinon, sept ans d'emprisonnement et 100 000 € d'amende.

Aussi : PAS EN MON NOM ! Car ni le massacre atroce du 7 octobre, ni le carnage gazaoui ne peuvent trouver justification dans l'arsenal rhétorique de nos consciences civilisées.

Quand la souffrance devient statistique et la justice un luxe géopolitique, notre silence n'est plus neutralité mais complicité. Ni les crimes atroces du 7 octobre ni le carnage méthodique qui a suivi ne peuvent s'abriter derrière nos yeux fermés. Refuser d'être témoin, c'est déjà choisir son camp - celui des bourreaux.

Amen Tonvoisin

Écrivain Dissident

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