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Les français sont angoissés ? « Bizarre, vous avez dit bizarre ? Comme c'est bizarre » Comme c'est étrange !
Les français sont angoissés ? « Bizarre, vous avez dit bizarre ? Comme c'est bizarre » Comme c'est étrange !

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(Mon précédent post fondé sur la recherche (ici : bit.ly/4i78NMk ) ayant atteint pas moins de 32 vues, j'espère bien en obtenir 33, pour rendre bien vivace la liberté d'expression et en être bien convaincu étant d'après certains un expert en matière de haute technologie, et puisque l'ONU m'a fait confiance sur la cyberciminalité, je suis probablement complotiste...)

๐”๐ง ๐›๐š๐ฅ๐ฅ๐ž๐ญ ๐ž๐ฑ๐ข๐ฌ๐ญ๐ž๐ง๐ญ๐ข๐ž๐ฅ ๐ž๐ง ๐œ๐ข๐ง๐ช ๐ฆ๐จ๐ฎ๐ฏ๐ž๐ฆ๐ž๐ง๐ญ๐ฌ

La peur - cet exquis instrument de gouvernance que manient nos États avec la dextérité d'un violoniste possédé ! Quelle magistrale symphonie du contrôle !

I. Paralysie Sacrée

Foucault l'aurait murmurée : la peur traverse les corps et fige les âmes. Statue vivante, le citoyen contemple sa propre immobilité tandis que La Boétie sourit tristement de notre "servitude volontaire".

๐ˆ๐ˆ. ๐๐š๐ฅ๐ฅ๐ž๐ญ ๐๐ž๐ฌ ๐„๐ฑ๐œ๐ž๐ฉ๐ญ๐ข๐จ๐ง๐ฌ

Agamben applaudit "l'état d'exception" permanent ! Cette pirouette où, comme le soupirerait Arendt, la protection devient prison. Benjamin nous rappelle que chaque loi sécuritaire cache sa propre barbarie.

๐ˆ๐ˆ๐ˆ. ๐Œ๐š๐ง๐ข๐ฉ๐ฎ๐ฅ๐š๐ญ๐ข๐จ๐ง ๐๐ž๐ฌ ๐‚๐จ๐ง๐ฌ๐œ๐ข๐ž๐ง๐œ๐ž๐ฌ

"L'homme est politique," disait Aristote, mais Chomsky ajouterait "manipulé par consentement." Bourdieu évoquerait la "violence symbolique" tandis que Baudrillard ricanerait devant ce "simulacre" - peur miroir reflétant la peur.

๐ˆ๐•. ๐‹'๐€๐ซ๐ญ ๐๐ž ๐ฅ๐š ๐ƒ๐ข๐ฌ๐ฌ๐ฎ๐š๐ฌ๐ข๐จ๐ง

Le Panoptique de Bentham s'invite : la possibilité d'être vu suffit à discipliner ! Sartre, cigarette aux lèvres : "l'enfer, c'est les autres" - surtout quand ils peuvent nous dénoncer.

๐•. ๐”๐ง๐ข๐จ๐ง ๐๐š๐ง๐ฌ ๐ฅ'๐„๐Ÿ๐Ÿ๐ซ๐จ๐ข

Marx dirait : "Si la religion est l'opium, la peur est cocaïne" - courte, intense, addictive ! Girard nous explique : nous avons besoin d'un bouc émissaire pour unir notre violence collective.
Souvenez-vous de Nietzsche : "Il faut du chaos en soi pour enfanter une étoile qui danse." Même dans les ténèbres politiques, cherchons cette étoile dansante nommée liberté.
(Mon précédent post fondé sur la recherche (ici : bit.ly/4i78NMk ) ayant atteint pas moins de 32 vues, j'espère bien en obtenir 33, pour rendre bien vivace la liberté d'expression et en être bien convaincu étant d'après certains un expert en matière de haute technologie, et puisque l'ONU m'a fait confiance sur la cyberciminalité, je suis probablement complotiste...)

๐”๐ง ๐›๐š๐ฅ๐ฅ๐ž๐ญ ๐ž๐ฑ๐ข๐ฌ๐ญ๐ž๐ง๐ญ๐ข๐ž๐ฅ ๐ž๐ง ๐œ๐ข๐ง๐ช ๐ฆ๐จ๐ฎ๐ฏ๐ž๐ฆ๐ž๐ง๐ญ๐ฌ

La peur - cet exquis instrument de gouvernance que manient nos États avec la dextérité d'un violoniste possédé ! Quelle magistrale symphonie du contrôle !

I. Paralysie Sacrée

Foucault l'aurait murmurée : la peur traverse les corps et fige les âmes. Statue vivante, le citoyen contemple sa propre immobilité tandis que La Boétie sourit tristement de notre "servitude volontaire".

๐ˆ๐ˆ. ๐๐š๐ฅ๐ฅ๐ž๐ญ ๐๐ž๐ฌ ๐„๐ฑ๐œ๐ž๐ฉ๐ญ๐ข๐จ๐ง๐ฌ

Agamben applaudit "l'état d'exception" permanent ! Cette pirouette où, comme le soupirerait Arendt, la protection devient prison. Benjamin nous rappelle que chaque loi sécuritaire cache sa propre barbarie.

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"L'homme est politique," disait Aristote, mais Chomsky ajouterait "manipulé par consentement." Bourdieu évoquerait la "violence symbolique" tandis que Baudrillard ricanerait devant ce "simulacre" - peur miroir reflétant la peur.

๐ˆ๐•. ๐‹'๐€๐ซ๐ญ ๐๐ž ๐ฅ๐š ๐ƒ๐ข๐ฌ๐ฌ๐ฎ๐š๐ฌ๐ข๐จ๐ง

Le Panoptique de Bentham s'invite : la possibilité d'être vu suffit à discipliner ! Sartre, cigarette aux lèvres : "l'enfer, c'est les autres" - surtout quand ils peuvent nous dénoncer.

๐•. ๐”๐ง๐ข๐จ๐ง ๐๐š๐ง๐ฌ ๐ฅ'๐„๐Ÿ๐Ÿ๐ซ๐จ๐ข

Marx dirait : "Si la religion est l'opium, la peur est cocaïne" - courte, intense, addictive ! Girard nous explique : nous avons besoin d'un bouc émissaire pour unir notre violence collective.
Souvenez-vous de Nietzsche : "Il faut du chaos en soi pour enfanter une étoile qui danse." Même dans les ténèbres politiques, cherchons cette étoile dansante nommée liberté.

 

Amen Tonvoisin

 

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